Articles

Lundi 22, mardi 23, mercredi 24 juillet 2024 - J'avance sur le banc et l'entourage du puits de dérive.

Image
      Ce lundi, petite journée tranquille, il me faut reboucher au mastic époxy les trous des vis qui maintiennent - en plus de la colle - les deux parties de mon banc. Je fais la même chose sur le bois qui recouvre la partie arrière du puits de dérive. Pour aujourd'hui ce sera tout car il faut laisser l'enduit sécher.  Les bois passés à l'époxy      Mardi, ponçage de l'enduit et imprégnation à l'époxy des deux entourages du puits de dérive. Je peux dire que le bois récupéré dans la partie saine du banc d'origine du Zef a soif, très soif mais le rendu est fort agréable. Bien-sûr, c'est une fois que j'ai tout ramassé et consciencieusement nettoyé mes outils que je me rends compte que j'ai oublié en fin d'année dernière de passer le bois qui supporte le mât à l'époxy. Je reboucherai les trous des vis demain puis le passerai à l'époxy. Si je l'avais fait en même temps que les bois du puits de dérive, j'aurais gagné du temps. Quelle a...

Dimanche 21 juillet 2024 - Je continue le puits de dérive

Image
  Les bois refaits     Il fait sec alors je me remets à la réfection de mon puits de dérive. La partie avant est prête alors je remets mon banc en place, donne quelques tours de vis pour qu'il ne bouge pas et présente mon encadrement de puits de dérive. Je démonte mon banc et, à la lime à bois, je donne à ce dernier la forme voulue pour que tout s'emboîte convenablement. À dire vrai, il faudra plusieurs montages et démontages avant d'obtenir un résultat satisfaisant.  Petit essai à blanc     Cela étant fait, je passe à la partie arrière du puits de dérive et avec le rabot, la râpe à bois et du papier de verre, je fais un arrondi sur les côtés du bois que j'ai découpé hier. Cette étape terminée, je trouve un tasseau de chêne qui sera collé et vissé à la partie arrière que je viens de mettre en forme et qui se mettra dans la gorge du puits de dérive. Quelques coups de rabot pour qu'il s'adapte parfaitement dans la gorge et je le colle à la PPU sur ma partie a...

Samedi 20 juillet 2024 – je perce les trous du banc et je refais l’entourage et l’arrière du puits de dérive.

Image
      Quatre mois sans toucher au Zef... Si ça continue comme ça, il va me falloir dix ans pour remettre ce Zef en état. Je sais qu'il trouve que j'abuse, il ne m'adresse plus la parole depuis un bon bout de temps. Allez, tais-toi vieux bavard et remets-toi au travail.     Tout d'abord, je reviens au banc auquel je n'ai pas touché depuis le mois de mars. Je le visse côté tribord et je perce de nouveaux trous côté bâbord de façon à ce que les vis prennent dans le renfort en bois que l'on devine sous la stratification du caisson bâbord. Je visse et, étonnamment, cela tient nettement mieux que vissé à côté du renfort... 😂 Le nouvel entourage...     Pendant que le nouveau banc est en place, j'en profite pour prendre les cotes de l'entourage du puits de dérive et vérifier sur la partie qui semble saine de l'ancien banc si j'ai assez de bois pour refaire cet entourage. Je coupe le banc quelques centimètres en retrait de la partie abîmée et surprise, l...

Vendredi 8 mars 2024. Et si je commençais par m’occuper du banc de nage…

Image
À tribord, tout va bien.     Lorsque j'avais démonté le banc de nage, je m'étais bien rendu compte qu'il y avait un problème. Le banc était bien fixé sur tribord (vis prises dans le renfort en bois stratifié dans le caisson) Les trous des vis dans le polyester sont restés bien ronds et ça ne bougeait pas. À bâbord, dommage ! Le renfort en bois a été raté de quelques mm...      Côté bâbord... c'est une autre affaire ! Les vis n'étaient pas dans le renfort en bois (partie hachurée en noir sur la photo) et ne tenaient pas. Sous l'effet de ce banc non retenu, les trous des vis se sont ovalisés. 😱 Maintenant, il va falloir attendre que la fibre sèche pour je puisse obturer ces trous disgracieux et percer les nouveaux dans le renfort en bois, là où ils auraient toujours dû être. Ainsi même à bâbord, le banc sera bien maintenu.      Qu'à cela ne tienne, puisque le temps semble vouloir enfin se mettre au beau, je crois que je vais m'attaquer à la ré...

Jeudi 7 mars 2024 - Une bien longue pause !

Image
     Depuis un an, chaque fois que je passe devant la coque de mon Zef, je l’entends qui m’adresse sa supplique habituelle : « Dis, quand te remets-tu au travail ? Tu as promis de me remettre en état et, depuis l’hiver 2022-23, plus rien. Tout juste si tu m’accordes un regard ! »        Je dois avouer qu’il n’a pas entièrement tort. Je devais démonter le toit de l’atelier pour le refaire en décembre 2022. La météo ne l’a pas permis. Au printemps 2023, rendez-vous est pris avec le couvreur et… deux jours avant la date fatidique, ce dernier m’appelle et me dit de ne pas commencer à démonter la couverture car une période de mauvais temps est annoncée et il ne va pas faire bon se balader en hauteur. Je vous confierais qu’il a eu raison de m’appeler car la quinzaine suivante a été exécrable. De report en report, nous avons bloqué une date pour la seconde période de juillet et le travail a enfin été fait. Mais je n’ai pas avancé d’un pouce sur la réno...

Mercredi 2 novembre 2022 - Je mets le chantier du Zef en sommeil.

L’été qui a duré jusqu’à la fin octobre semble marquer le pas. L’automne est là avec ses ondées (on manque d’eau paraît-il), ses journées courtes et les températures commencent à baisser. À l’approche de l’hiver, je me vois contraint de mettre le chantier du Zef en sommeil. D’abord il devient difficile de travailler sur la coque avec les températures qui baissent mais surtout, je dois faire recouvrir l’atelier qui servira d’abri à notre petit bateau. Si un couvreur viendra bien poser le bac acier, c’est à moi d’assurer le démontage de l’ancienne couverture et d’en assurer l’évacuation (il n’y a pas de petites économies). Mais après, nous devrions pouvoir travailler au sec sans avoir à déplacer le matériel en fonction des infiltrations.

Dimanche 30 octobre 2022 - Devinez quoi ?... Ce sera époxy !

Puisque ce n’est pas un temps à mettre des outils électriques dehors, tant pis pour la colle côté bâbord, je passe une couche de glaçage sur le bois bâbord. Je crois qu’il va gagner le droit d’en avoir une seconde. Il me reste quelques jours de vacances, alors je vais faire une petite pause dans la restauration du Zef et rester calme quelques jours histoire d’avoir un dos au top pour la reprise. Le 11 novembre approchant, s’il pouvait faire beau ces trois jours, j’en profiterais pour enlever la colle sur bâbord et pourquoi pas finir l’enduit de finition sur le pontage pour n’avoir plus qu’à peindre après le remontage des bois aux beaux jours.