Samedi 20 juillet 2024 – je perce les trous du banc et je refais l’entourage et l’arrière du puits de dérive.

     Quatre mois sans toucher au Zef... Si ça continue comme ça, il va me falloir dix ans pour remettre ce Zef en état. Je sais qu'il trouve que j'abuse, il ne m'adresse plus la parole depuis un bon bout de temps. Allez, tais-toi vieux bavard et remets-toi au travail.

    Tout d'abord, je reviens au banc auquel je n'ai pas touché depuis le mois de mars. Je le visse côté tribord et je perce de nouveaux trous côté bâbord de façon à ce que les vis prennent dans le renfort en bois que l'on devine sous la stratification du caisson bâbord. Je visse et, étonnamment, cela tient nettement mieux que vissé à côté du renfort... 😂

Le nouvel entourage...
    Pendant que le nouveau banc est en place, j'en profite pour prendre les cotes de l'entourage du puits de dérive et vérifier sur la partie qui semble saine de l'ancien banc si j'ai assez de bois pour refaire cet entourage. Je coupe le banc quelques centimètres en retrait de la partie abîmée et surprise, le bois est en parfait état. Non seulement j'en ai assez mais je vais pouvoir aussi refaire la partie arrière du puits. Alors il n'y a plus qu'à attraper une bonne scie égoïne et à commencer à couper. Purée ! Cette sorte d'acajou africain - dixit Wikipédia - dont le nom m'échappe (du sipo ?) est solide et le scier n'a pas été une mince affaire mais cela en valait la peine. Le bois a une belle teinte et une fois remis en forme et correctement poncé, le tour du puits de dérive aura fière allure. Je crois que son prédécesseur qui m'a servi de gabarit partiel (il manque quasiment tout un côté) va pouvoir prendre la direction de la déchetterie.    

    Des nuages noirs annoncent une pluie orageuse. Pas de temps à perdre. Je reprends ma scie et découpe la partie arrière du puits de dérive. Il y a beaucoup moins de coupes et cela va beaucoup plus vite. J'ai juste le temps de donner quelques coups de rabot sur les côtés pour les rendre bien lisses que la pluie
arrive et me contraint à ramasser tout le matériel qui est dehors. Je suis trempé ; je m'arrête pour aujourd'hui. Tant pis, je m'y remettrai dans les jours qui viennent. 









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